shakespearian* Nouveau ; Nouveau :p
Messages : 9 Date d'inscription : 09/04/2009 Age : 30 Localisation : Europe :)
| Sujet: Recherche staff; pour forum plutôt innovant, si je peux le dire. :) Sam 11 Avr - 2:03 | |
| Hmm,je ne donne pas encore l'adresse du forum, il est en constuction, mais es futurs admins auront droit à ce petit lien Je recherche deux à trois admins environ, qui sache utiliser le CSS, le HTLM un peu, et ayant un niveau RPG convenable genre 15-20 lignes Des personnes motivées car ce sujet me tient à coeur, et je l'a rarement vu en RPG, et cela ma traversé l'esprit lors de l'inscription sur le forum. Voilà le concept, ou contexte si vous préférez : - Spoiler:
•• second acte •• prologue •• entre le chœur ••
Maintenant, le vieil amour agonise sur son lit de mort, Et une passion nouvelle aspire à son héritage. Cette belle pour qui notre amant gémissait et voulait mourir, Comparée à la tendre Juliette, a cessé d'être belle. Maintenant Roméo est aimé de celle qu'il aime : Et tous deux sont ensorcelés par le charme de leurs regards. Mais il a besoin de conter ses peines à son ennemie supposée, Et elle dérobe ce doux appât d'amour sur un hameçon dangereux. Traité en ennemi, Roméo ne peut avoir un libre accès Pour soupirer ces vœux que les amants se plaisent à prononcer Et Juliette, tout aussi éprise, est plus impuissante encore À se ménager une rencontre avec son amoureux. Mais la passion leur donne la force, et le temps, l'occasion De goûter ensemble d'ineffables joies dans d'ineffables transes. •• acte cinq •• scène trois •• Roméo. – Sur ma foi, je le ferai. (Se penchant sur le cadavre.) Examinons cette figure : un parent de Mercutio, le noble comte Pâris ! Que m'a donc dit mon valet ? Mon âme, bouleversée, n'y a pas fait attention… Nous étions à cheval… Il me contait, je crois, que Pâris devait épouser Juliette. M'a-t-il dit cela, ou l'ai-je rêvé ? Ou, en l'entendant parler de Juliette, ai-je eu la folie de m'imaginer cela ? (Prenant le cadavre par le bras.) Oh ! donne-moi ta main, toi que l'âpre adversité a inscrit comme moi sur son livre ! Je vais t'ensevelir dans un tombeau triomphal… Un tombeau ? Oh ! non, jeune victime, c'est un Louvre splendide, car Juliette y repose, et sa beauté fait de ce caveau une salle de fête illuminée. (Il dépose Pâris dans le monument.) Mort, repose ici, enterré par un mort. Que de fois les hommes à l'agonie ont eu un accès de joie, un éclair avant la mort, comme disent ceux qui les soignent… Ah ! comment comparer ceci à un éclair ? (Contemplant le corps de Juliette.) Mon amour ! ma femme ! La mort qui a sucé le miel de ton haleine n'a pas encore eu de pouvoir sur ta beauté : elle ne t'a pas conquise ; la flamme de la beauté est encore toute cramoisie sur tes lèvres et sur tes joues, et le pâle drapeau de la mort n'est pas encore déployé là… (Allant à un autre cercueil.) Tybalt ! te voilà donc couché dans ton linceul sanglant ! Oh ! que puis-je faire de plus pour toi ? De cette même main qui faucha ta jeunesse, je vais abattre celle de ton ennemi. Pardonne-moi, cousin. (Revenant sur ses pas.) Ah ! chère Juliette, pourquoi es-tu si belle encore ? Dois-je croire que le spectre de la Mort est amoureux et que l'affreux monstre décharné te garde ici dans les ténèbres pour te posséder ?… Horreur ! Je veux rester près de toi, et ne plus sortir de ce sinistre palais de la nuit ; ici, ici, je veux rester avec ta chambrière, la vermine ! Oh ! c'est ici que je veux fixer mon éternelle demeure et soustraire au joug des étoiles ennemies cette chair lasse du monde… (tenant le corps embrassé.) Un dernier regard, mes yeux ! Bras, une dernière étreinte ! Et vous, lèvres, vous, portes de l'haleine, scellez par un baiser légitime un pacte indéfini avec le sépulcre accapareur ! (Saisissant la fiole.) Viens, amer conducteur, viens, âcre guide. Pilote désespéré, vite ! lance sur les brisants ma barque épuisée par la tourmente ! À ma bien-aimée ! (Il boit le poison.) Oh ! l'apothicaire ne m'a pas trompé : ses drogues sont actives… Je meurs ainsi… sur un baiser ! (Il expire en embrassant Juliette.)
[...]
Juliette s'éveille et se soulève.
Juliette. – Ô frère charitable, où est mon seigneur ? Je me rappelle bien en quel lieu je dois être : m'y voici… Mais où est Roméo ?
Rumeur au loin.
Laurence. – J'entends du bruit… Ma fille, quitte ce nid de mort, de contagion, de sommeil contre nature. Un pouvoir au-dessus de nos contradictions a déconcerté nos plans. Viens, viens, partons ! Ton mari est là gisant sur ton sein, et voici Pâris. Viens, je te placerai dans une communauté de saintes religieuses ; pas de questions ! le guet arrive… Allons, viens, chère Juliette. (La rumeur se rapproche.) Je n'ose rester plus longtemps. (Il sort du tombeau et disparaît.)
Juliette. – Va, sors d'ici, car je ne m'en irai pas, mais, qu'est ceci ? Une coupe qu'étreint la main de mon bien-aimé ? C'est le poison, je le vois, qui a causé sa fin prématurée. L'égoïste ! il a tout bu ! il n'a pas laissé une goutte amie pour m'aider à le rejoindre ! Je veux baiser tes lèvres : peut-être y trouverai-je un reste de poison dont le baume me fera mourir… (Elle l'embrasse.) Tes lèvres sont chaudes !
Premier Garde, derrière le théâtre. – Conduis-nous, page… De quel côté ?
Juliette. – Oui, du bruit ! Hâtons-nous donc ! (Saisissant le poignard de Roméo.) Ô heureux poignard ! voici ton fourreau… (Elle se frappe.) Rouille-toi là et laisse-moi mourir ! (Elle tombe sur le corps de Roméo et expire.)
[...]
Laurence. – Je serai bref, car le peu de souffle qui me reste ne suffisait pas à un récit prolixe. Roméo, ici gisant, était l'époux de Juliette ; et Juliette, ici gisante, était la femme fidèle de Roméo. Je les avais mariés : le jour de leur mariage secret fut le dernier jour de Tybalt, dont la mort prématurée proscrivit de cette cité, le nouvel époux. C'était lui, et non Tybalt, que pleurait Juliette. (À Capulet.) Vous, pour chasser la douleur qui assiégeait votre fille, vous l'aviez fiancée, et vous vouliez la marier de force au comte Pâris. Sur ce, elle est venue à moi, et, d'un air effaré, m'a dit de trouver un moyen pour la soustraire à ce second mariage ; sinon, elle voulait se tuer là, dans ma cellule. Alors, sur la foi de mon art, je lui ai remis un narcotique qui a agi, comme je m'y attendais, en lui donnant l'apparence de la mort. Cependant j'ai écrit à Roméo d'arriver dès cette nuit fatale, pour aider Juliette à sortir de sa tombe empruntée, au moment où l'effet du breuvage cesserait. Mais celui qui était chargé de ma lettre, frère Jean, a été retenu par un accident, et me l'a rapportée hier soir. Alors tout seul, à l'heure fixée d'avance pour le réveil de Juliette, je me suis rendu au caveau des Capulets, dans l'intention de l'emmener et de la recueillir dans ma cellule jusqu'à ce qu'il me fût possible de prévenir Roméo. Mais quand je suis arrivé quelques minutes avant le moment de son réveil, j'ai trouvé ici le noble Pâris et le fidèle Roméo prématurément couchés dans le sépulcre. Elle s'éveille, je la conjure de partir et de supporter ce coup du ciel avec patience… Aussitôt un bruit alarmant me chasse de la tombe ; Juliette, désespérée, refuse de me suivre et c'est sans doute alors qu'elle s'est fait violence à elle-même. Voilà tout ce que je sais. La nourrice était dans le secret de ce mariage. Si dans tout ceci quelque malheur est arrivé par ma faute, que ma vieille vie soit sacrifiée, quelques heures avant son épuisement, à la rigueur des lois les plus sévères.
[...]
Capulet. – Ô Montague, mon frère, donne-moi ta main. (Il serre la main de Montague.) Voici le douaire de ma fille ; je n'ai rien à te demander de plus.
Montague. – Mais moi, j'ai à te donner plus encore. Je veux dresser une statue de ta fille en or pur. Tant que Vérone gardera son nom, il n'existera pas de figure plus honorée que celle de la loyale et fidèle Juliette.
Capulet. – Je veux que Roméo soit auprès de sa femme dans la même splendeur : pauvres victimes de nos inimitiés !
Le Prince. – Cette matinée apporte avec elle une paix sinistre, le soleil se voile la face de douleur. Partons pour causer encore de ces tristes choses. Il y aura des graciés et des punis. Car jamais aventure ne fut plus douloureuse que celle de Juliette et de son Roméo. •• hmm, bagatelles
On nous a toujours raconter dans notre jeunesse, que Roméo et Juliette n'avait été que pure fiction. Qu'une histoire d'amour, sur laquelle on pouvait pleurer et se lamenter. Mais non, d'après de nombreux historiens, la vérité a été dévoilée au grand jour, et fit polémique. Notre Roméo et sa Juliette avaient bien exister, il y a de cela des années et des années. Notre William avait bien raison, c'était un grand homme celui là. Et c'est grâce à lui, que nous avons pût retrouver la trace des deux familles les plus connus de Verone. •• verona, verone
On peut dire que rien n'a changé depuis le 16ème-17ème siècle. La seule chose qui pourrait avoir changé ici, c'est la technologie et les individus qui s'y trouvent. Cependant, deux familles s'affrontent sans interruption. Capulet VS Montague, rien n'est encore gagné, après une soit disante paix il y a de cela des années, la haine est revenue dans le sang des deux familles et perdurent. Cela n'affecte pas les habitants, du moins, pas énormément. Chaque doyen de chaque famille souhaite obtenir tous pouvoirs sur le comté, oui, Verone n'est plus une ville, mais elle est devenue etat, comté, à part entière, sous la direction, d'une grande famille noble, ou dan ce cas là, deux. Une histoire ce répète, comme une phoenix renait de ses cendres, un Roméo&Juliette des temps modernes. •• une ville remplie d'étoiles
Vous êtes ces étoiles, vous faites briller la ville à travers le sgens. Vous défilez dans la rue, tels de grands rois et reines de l'époque, avec votre insuffisance et votre mépris, votre amour et votre haine. Et pourtant parmis ces êtres incongrus se trouvent des perles rares, des petites étoiles qui s'aiment et se chérissent et dont rien n'importe plus que le coeur. L'amour, permet de renaître de revivre. Et vous les étoiles de Verone, êtes charger de vivre dans cette ville, de sortir, d'aller en boîte, en cours, avec vos amis. Votre caractère définira votre clan, Capulet? Montague? Vous seul en avez le choix. la vie est dure, mais bon, l'amour est toujours là pour nous sauver des blessures. Je vis, tu vis, il vit, nous vivons, vous vivez ... •• star crossed lovers
(c) verone.staff. toute reproduction, qu'elle soit entière ou partielle, est formellement interdite.
Voilà en espérant voir des petits participants | |
|